veronique

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  • SECURISATION DU PASSAGE DU PONT DE LEZ POUR LES CHAUVES-SOURIS

     

     

    SAINT-BEAT

    DES FILETS POUR DIRIGER LES CHAUVES-SOURIS

     

    SECURISATION DU PONT DE LEZ POUR LES CHAUVES-SOURIS

    L’installation prévue a pour but de limiter les collisions des chauves-souris avec les véhicules au niveau du pont du ruisseau de LEZ dont le cours d’eau sert d’axe de déplacement et d’axe de transit.

    L’étude de ces mammifères a démontré qu’ils n’ont pas tous les mêmes habitudes, les petits rhinolophes, c’est la leur nom scientifique, passeraient  en dessous du pont, les autres en dessus.  Pour remédier au problème et maintenir la fonctionnalité de ce corridor nos écolos ont pensé qu’il fallait diriger le vol des chauves souris et pour cela faire un aménagement  en conséquence. Le pont  devra   être élevé d’au môns 1 mètre 50 entre le voute et le niveau de l’eau pour favoriser le passage des petites chauves-souris et pour les autres qui devraient  passer dessus il sera installé des panneaux le long des rambardes pour les inciter à s’élever d’une hauteur d’au moins 4 mètres. Ces panneaux seront posés parallèlement les uns des autre tels des marches pour que les chauves souris élèvent leur vol et ne percutent pas les camions. Comme celles-ci sont équipées de radars et se déplacent dans l’obscurité en émettant des ultrasons il serait sans doute plus prudent de demander ce que la colonie compte SAM_1444.JPGfaire. Peut être qu’elle prendra  l’initiative de passer a droite ou a gauche.

     Le ridicule ne tue pas. Alors que les caisses sont vides je préconise d’abandonner cet aménagement du ruisseau de LEZ.

  • LES CHAUVES-SOURIS: De quoi amuser les écolos

     

     

    LA DEVIATION DE SAINT-BEAT

    L’IMPACT DES COLONIES DE CHAUVES-SOURIS     (à suivre)

     

    Les chauves-souris sont des mammifères  comptant près d’un millier d’espèces. Actives la nuit elles se dirigent dans l’obscurité en émettant des ultrasons.

    Les chauves–souris habitent les cavités artificielles, les grottes, les caves, les souterrains, les tunnels, les combles des maisons abandonnées, les toitures des églises. Rien d’étonnant que les alentours de la déviation de SAINT-BEAT soit un endroit de prédilection pour ces mammifères au point que les données transmises par  le CREN  MIDI PYRENEES font état de gîtes d’hivernages et de transit d’une part et de gîtes d’estivages et de reproduction d’autre part connus sur les communes de LEZ, ARLOS, SAINT-BEAT, MARIGNAC……. Dans un rayon de 10 kilomètres autour du tracé.

    Ces données font apparaitre la richesse de la zone qui procure des gites d’hivernage et de transit pour 3 espèces de rhinolophes dont le minioptère de Schreibers et le murin à oreilles échancrées. Il faut dire que ces colonies  ont été répertoriés l’une  dans les mines d’ARGUT-DESSUS  l’autre sur la commune de MARIGNAC.

    Ces mammifères étant donné leur mode de vie comptent peu de prédateurs et de ce fait sont très abondants dans la vallée. Mais voilà depuis le 17 avril 1981 elles sont protégées. Il est donc interdit de les détruire.  Ainsi avec l’appui des énarques bruxellois tout a été mis en œuvre pour les protéger. La chose serait louable si elle n’avait pas abouti a des solutions d’un coût exorbitant frisant le ridicule.

    Heureusement que tout  ce qu’avait imaginé nos écologistes n’a pas été mis en œuvre a l’entrée de la galerie de la chapelle à SAINT-BEAT et aux mines du PLAN.

    La semaine prochaine : La pose de filets  sur le LEZ pour protéger les chauves-souris.

    SAM_1464.JPG

    La galerie de la Chapelle non fermée.SAM_1463.JPG

    Projet de fermeture des mines du PLAN.