veronique

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La guerre des demoiselles

  • Attaqué par un ours

    La guerre des demoiselles. (suite)


    Un chasseur de Lés a été attaqué par un ours au Val d'Aran. Nous avons pu monter une vidéo qui en dit long sur les motivations de tous les aranais.
    Cliquer sur la vidéo avec le bouton droit de la souris puis mettre lecture.
    Ce reportage a été réalisé avec le cameraman de FR3, Jean-Pierre Jaussaud, et sa collaboratrice.


  • Un point inquietant

    ARLOS SAINT-BEAT

    LA GUERRE DES DEMOISELLES (Suite)

    Un point mort inquiétant.

    Un différend a apparu cette fin de semaine au sujet des cartes de circulation permettant de monter au parking de l’indivise. Pourquoi monter à l’indivise puisqu’on interdit de chasser sur ce territoire aux chasseurs de l’ACCA de Saint-Béat. Voilà un sujet tabou qui apparaît pour diviser les chasseurs. La méthode est usée mais on l’applique toujours sachant qu’elle donne bonne conscience. Affaire à suivre.

    De son côté le président de l’ACCA de Saint-Béat a rencontré monsieur le maire pour faire le point. Ce dernier a eu un entretien avec le président de l’ACCA d’Arlos. Aucun arrangement n’a été possible. Monsieur le maire de Saint-Béat a donc carte blanche pour mettre l’affaire en justice, comme il l’a toujours promis, lors des différentes réunions que nous avons eu avec lui.
    Monsieur Rémy Martinez, Président de L’ACCA de Saint-Béat, lui a rappelé les trois points sur lesquels il y avait consensus.
    Premièrement d’informer le tribunal qu’aucun arrangement n’est conclu et que l’on demande à ce dernier de nous donner la marche à suivre pour retrouver nos droits.
    Deuxièmement, monsieur le maire, propriétaire de l’indivise, doit faire immédiatement une opposition de territoire qui nous mènera a récupérer nos droits et à créer une AICA comme le suggère monsieur le Sous-Préfet.
    Vu que nous sommes propriétaire de la cabane des Scouraous, monsieur le maire doit demander à l’ACCA d’Arlos de donner des cartes de sociétaires à l’ACCA aux chasseurs de Saint-Béat.
    Enfin nous demandons à monsieur le maire de se procurer auprès de la sous-préfecture les statuts de l’ACCA d’Arlos.
    Voilà les trois points qui sont du domaine de la mairie de Saint-Béat qui nous faut faire avancer en priorité. Si rien n’est fait les Saint-Béatais perdrons leurs droits pour toujours sur ce territoire.
    ESCARIO Georges
    Photo : Le Pic du Gar vu du Ciel.



  • Survol de l'indivise

    Aticle du 22 septembre

    LES HISTOIRES INSOLITES DE JOJO

    ARLOS-SAINT-BEAT

    LA GUERRE DES DEMOISELLES (suite)

    SURVOL DE L’INDIVISE

    Ce lundi avec mon ami Claude Gaucheran nous devons survoler l’indivise avec le piper de l’aérodrome de Clarac.
    Je tiens beaucoup à cette sortie. Le but est de revivre les moments inoubliables passés sue le territoire, en simple randonneur avec mes petits fils, à la chasse ou à la cueillette des champignons. Moments inoubliables que j’ai retracé dans mes livres : « les histoires insolites de Jojo » et dans « Son premier isard ». Ce survol sera presque un adieu vu qu’il nous sera moins facile de monter au parking de l’Artigue d’Arlos .
    C’est le cœur gros et avec une certaine amertume que j’ai demandé à Claude de s’approcher le plus du Pic Sacaube, de longer la frontière de Serre Planére et d’arriver au pic de Bacanère et du Burat et de redescendre la crête des Picades et des Spiches puis de revenir vers Saint-Béat.
    Mes pensées sont diffuses, en pensant que mes petits enfants ne goûterons plus aux joies du chant du coq de bruyère, que je ne pourrai pas leur apprendre à chasser l’isard sur Palarquere, qu’il me sera plus difficile d’amener mes amis devant la tutte de l’ours de la Coume de Mée.

    La mairie de Saint-Béat comme elle l’avait promis a fait une tentative de compromis, sans résultats, mais a-t-elle tout fait pour nous garder l’accès à ce coin de paradis ?
    Je l’ai dit dans mes articles précédents c’est au propriétaire de l’indivise de nous défendre dont au maire de Saint-Béat. Il semble aujourd’hui qu’il se préoccupe peu de nous Il y a plus de 15 jours que le président de l’ACCA n’a pas de ses nouvelles.
    Pourtant nous l’implorons à faire une opposition de territoire à l’ACCA d’Arlos ce qui nous mènerait à récupérer tous nos droits sur ce territoire. Ainsi pourrons nous donner raison au Sous-Préfet en créant une AICA.
    De suite, si aucun arrangement n’intervient immédiatement, le maire de Saint-Béat doit demander des dommages à la commune d’Arlos, pour ne pas léser ses administrés. Ses droits monsieur le maire les tient de l’article L2122-21 du code général des collectivités territoriales : « De conserver et d’administrer les propriétés de la commune et de faire, en conséquence, tous actes conservatoire de ses droits »

    De plus la loi dans son article 5222-5 qui régit les droits lors d’une indivision entre deux communes prévoit que l’on peut se sortir immédiatement de l’indivision.
    Toutes ces démarches remettraient la commune d’Arlos devant ses responsabilités.

    Photo :
    Monsieur Gaucheran à l’entrée de la tutte de Palarquère.

    Tutte de Palarquère.jpg