veronique

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Le mercredi 20 février 2008

Je me lève de bonne heure, mon rendez-vous avec un couple de Saint-Béat étant programmé pour 8 heures 30.
Le sujet est délicat ; ce couple me connaît peu et son argument est de dire que je ne suis pas apte d'être conseiller général puisque je n'ai pas su conserver mon entreprise en activité.
Je m'arme de mon livre sur "Le conflit Pechiney" et je suis prêt à défendre mes arguments. Très vite, l'homme se prend au jeu. Il connaît bien les usines Pechiney puisqu'il a vécu longtemps en Ariège. La discussion est passionnée et repose sur le devenir des scieries en France et l'emploi dans notre canton. Je ne sais pas si j'ai convaincu ces personnes mais ce dont je suis sûr c'est que l'entretien a porté ses fruits.

Le soir, je me rends chez un couple dont on m'a donné le nom mais que je ne situe pas.
Je sonne au portail et la personne qui vient m'ouvrir est un ancien de Pechiney que j'ai connu il y a fort longtemps.
Il a fait sa carrière dans le groupe en Savoie et à Lannemezan. Une discussion très technique s'engage où nos points de vue concordent. L'entretien se termine par le verre de l'amitié. Je suis content.

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