L’AMICALE SOCIOCULTURELLE DE PEM

COMPTE-RENDU DE LA REUNION  du 30 MARS

Le bureau au complet

Le bureau de l’Amicale socioculturelle de PEM tenait à informer les personnes intéressées par le devenir du local du local du Comité d’Entreprise de PEM Marignac des dernières avancées du dossier.

En effet toutes les démarches administratives en cours étant au point d’aboutir il était normal que la population  participe aux dernières phases de la procédure que nous devons engager.

Les questions ont été pertinentes et les intervenants ont démontré par leurs réponses qu’ils étaient en phases dans leurs propositions.

La possibilité de dévoluer les biens au Comité Central d’Entreprise de FERROPEM de CHAMBERY à été perçu comme un gage de crédibilité par tous les présents. Après avoir modifié les statuts de l’Association comme c’était prévu dans l’ordre du jour, les membres du CCE peuvent faire partie de l’Association, ce qui leur donne le droit  de participer à la dévolution des biens du CE en tout état de cause et d’accepter que les biens du CE donc principalement le bail emphytéotique leur soit dévolué. Ils pourront participer en toute légalité à la procédure engagée et lors de la restitution du bail emphytéotique  louer le local à l’Amicale qui est la continuité du C.E. Toutes ces démarches ont été faites dans la plus stricte transparence et ces décisions importantes ont été approuvées par tous les membres présents. Le quorum des  adhérents étant atteint,  la modification des statuts était recevable. Elle sera transmise légalement  à la sous préfecture.

Certains se sont interrogés du devenir de quelques dossiers en cours. André Duran a retracé leur parution  devant  les prud’hommes. Dossiers dans lesquels FERROPEM  n’a pas répondu à tous ses engagements.

Pour finir nous avons évoqué la prochaine manifestation du 1^er mai. Diverses idées ont été échangées pour la bonne réussite de cette journée.  Nous nous engageons de donner un éclat  particulier à cette manifestation a fin de démontrer que le combat des ouvriers pour la récupération de leurs droits n’a jamais été abandonné.

ESCARIO Georges