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Les histoires insolites de Jojo - Page 18

  • Non, les jardins partagés ne sont pas polués.

     

    ENVIRONNEMENT

     

    Les jardins partagés ont été un espace de solidarité et de fraternité. Des rumeurs non fondées ont fait qu'après les inondations du 18 juin ils ont été abandonnés au motif de pollution. Pourtant des articles parus sur La Dépêche expliquaient clairement qu'il en était rien. Un copier/coller a sa place sur ce blog.

     

    Pourquoi l'inondation de juin n'a pas provoqué de pollution

     

    Publié le 22/07/2013 à 08:52

     

     

    Du Comminges jusqu'à Muret, beaucoup d'inondations en Haute-Garonne./Photo DDM, Robert Castéra Pêche «de contrôle» en Garonne./Photo archives DDM Jal

     

     

     

     

    Les rumeurs de pollutions provoquées par les récentes inondations ne sont pas avérées, expliquent la DDT et la Fédération de pêche. Explication : l’énorme force de dilution de la crue…

     

    Inondation ne rime pas forcément avec pollution. Les dernières crues catastrophiques ont durement touché le département. Mais la force même des crues a un peu fonctionné comme une lessiveuse pour l’écosystème. Des destructions, des dégâts considérables, des «embâcles» (accumulations de déchets qui «bouchonnent» la rivière) sur tout le cours de la Garonne et de ses affluents. Mais pas de pollution chimique au sens strict du terme.

     

    Et pourtant, de nombreux riverains, et les sinistrés au premier chef, ont vu les eaux tumultueuses emporter de nombreux éléments potentiellement polluants, à commencer par des cuves à mazout. Mais du côté de la Direction départementale des territoires (DDT), responsable de la «Police des eaux», on confirme l’absence de pollution avérée : «La réponse est non. Aucune pollution constatée sur la Garonne à la suite des inondations».

     

    Les pêcheurs, à qui on peut faire naturellement confiance pour donner l’alerte, sont sur la même longueur d’ondes. Une explication ? : «Les eaux ont emporté de petits stocks polluants domestiques et pas de stocks industriels», précise ainsi Olivier Plasseraud, directeur de la Fédération départementale de pêche 31. C’est également le cas du côté espagnol qui fait beaucoup gamberger de ce côté-ci de la frontière : «Il n’y a pas de zone industrielle à ce niveau du val d’Aran, juste de l’artisanat…», ajoute le directeur.

     

    Il reste que la vision spectaculaire d’une cuve de fioul à la rivière interpelle : «Ce qui crée la pollution, c’est la concentration explique Olivier Plasseraud. Avec les crues, le débit de l’eau était tellement énorme que c’est le phénomène de dilution qui l’a emporté.»

     

    Dégager les embâcles

     

    Plus inquiétants aux yeux des riverains et des pêcheurs sont aujourd’hui ces embâcles, amas essentiellement composés de végétaux qui s’accumulent en amont des ponts : «De gros troncs d’arbres rejoints par des petits qui s’entremêlent, le tout agrémenté d’objets divers domestiques d’autant plus repérables qu’ils sont isolés».

     

    Ces embâcles constituent autant de dangers en cas de nouvelle montée des eaux et doivent être démantelés au plus vite», insiste Olivier Plasseraud. Une priorité pour la sécurité des riverains.

     


     

    Quand le débit s'emballe...

     

    Les inondations récentes, notamment en Haute-Garonne ont provoqué de gros dégâts matériels «» là où les rivières ont vu leur débit naturel modifié par les activités humaines» souligne-t-on à la Fédération départementale de pêche. Un phénomène oublié mais bien vérifié dans le Luchonnais : «Quand on regarde la Garonne, la Pique, et les affluents, on s’aperçoit que les berges, les routes, les ponts ont été les plus endommagés dans les parties de cours d’eau dites en débit réservé», relève Olivier Plasseraud, directeur de la Fédération. «Dans ces portions court-circuitées par les barrages, l’eau s’écoule dans les tuyaux et seulement 10 % du débit normal s’écoule dans le lit naturel de la rivière. On s’habitue à voir les cours d’eaux ainsi, tout petits, tout maigres, par rapport à leur aspect initial et naturel. On ne voit pas couler la vraie rivière. Et on construit même au plus près de son lit. Entre-temps, la végétation a également poussé dans ce lit de base qui se referme. Qui doit l’entretenir ? Alors quand soudain, les crues font passer le débit de 10 à 1 000 %, les dégâts sont forcément considérables».

     


     

    Population piscicole :un inventaire à l'automne

     

    Les humains d’abord. Le sort des poissons n’en a pas moins suscité l’inquiétude en ce qu’il témoigne de l’ampleur de la catastrophe. «Une truite dans la salle de bains, ou dans un champ, un poisson mort ou encerclé, ça donne l’impression que tout est mort… Eh bien, non ! ce n’est pas le cas», explique Olivier Plasseraud : «Il s’agit souvent de poissons de piscicultures… qui ne savent pas nager dans une nature en furie comme les poissons sauvages. Mais bien sûr, une telle crue a, malgré tout, accentué la sélection naturelle. On considère qu’il faut trois ans pour retrouver une stabilisation de la population des poissons».

     

    Pour l’heure, il est encore trop tôt pour affiner le diagnostic : «Nous vérifierons à l’automne quand les débits seront stabilisés et les populations de poissons mieux réparties. Actuellement, nous avons des zones de concentration et des zones désertées, donc une vision tronquée de la situation, explique-t-on à la fédération départementale. Nous entamerons donc des campagnes d’inventaire piscicole dès l’automne

     

    Daniel Hourquebi

     

  • SOLIDARITE

    AMICALE  SOCIOCULTURELLE DE PEM MARIGNAC                        lundi 24 Juin 2013

    2, route des usines

    31440 MARIGNAC

    Le Président :  André DURAN

     

    A

     

    Monsieur le président de l’Association : « SAUVONS SAINT-BEAT »

     

    Monsieur le président,

     

     

    Une fois de plus, 13 années après la fermeture de l’usine PECHINEY de MARIGNAC, notre  canton subit de plein fouet des événements dramatiques matériels et humains auxquels nous ne pouvons rester insensibles.

    Le bureau de l’Amicale Socioculturelle de PEM MARIGNAC s’est  réuni    à la salle de la mairie de Sainte Marie  pour évoquer les crues survenues courant juin sur le canton de Saint-Béat.

    Il a décidé de s’associer  à la solidarité qui s’est créée spontanément pour venir en aide aux sinistrés.

    En conséquence il a décidé d’envoyer un chèque à l’association  que vous venez de créer.

    Les membres de l’Amicale restent  à la disposition de votre association à toute fin utile.

     

    Le président : André DURAN

     

     

  • Les biens du Comité d'Etablissement

    Lors du dernier Conseil Communautaire le Président GROS a informé les présents qu'il allait faire vider le local du Comité d'Etablissement des biens qui appartenaient aux ouvriers et qu'il allait les stocker dans un local communal dont il nous faudrait demander l'adresse.

    En un mot la victime devait écrire à la communauté des communes pour savoir ce qu'étaient devenus ses biens.

    On pourrait en rire si ce n'était une histoire à 1/2 million d'euros.

    Le local devait être vidé avant le 31 du mois de mai et force est de constater que monsieur le président devra attendre s'il ne veut pas se chercher des ennuis.

    Notre avocat a semble-t-il freiné les intentions du président en lui envoyant la lettre qui suit:

     

     

    CABINET DARRIBERE

     

    SCP d'avocats à la Cour

     

    10, bis rue Lakanal

     

    31000 TOULOUSE

     

     

     

    Pierre DARRIBERE

     

           Avocat Honoraire

     

                                                                                                                                                                       Tél : 05.61.23.28.44

     

    Agnès DARRIBERE                                                                                                                                Fax : 05.62.27.12.50

     

    Raphaël DARRIBERE

     

           Avocats associés

     

     

     

    Sarah HADDAD-CHOLLET

     

    Elise DEMOURANT

     

            Avocats

     

    Case 87                                                                                                                                                           COMMUNAUTE DES COMMUNES DU CANTON DE ST BEAT

     

                                                                                                  Avenue de la Brèche Romaine

     

                                                                                                  31440 ST BEAT

     

    Lettre recommandée avec AR

     

     

     

                                                                                                  Toulouse, le 23  Mai 2013

     

     

     

     

     

    Nos Réf :

     

    CE PECHINEY MARIGNAC C/FERROPEM & COMMUNE MARIGNAC

     

    2012/01853

     

     

     

    Vos Réf :

     

    Locaux administratifs de MARIGNAC

     

     

     

     

     

     

     

                   

     

     

     

    Monsieur le Président,

     

     

     

     

     

    Le Comité d’Etablissement FERROPEM de Pierrefitte-Nestalas porte à ma connaissance la lettre recommandée que vous lui avez fait tenir datée du 15 mai 2013 valant sommation de vider les locaux situés à MARIGNAC de tous les objets appartenant au Comité d’Etablissement.

     

     

     

    Je vous réponds, dûment mandaté par le Comité d’Etablissement, qu’il n’est nullement dans l’intention de celui-ci d’obéir à votre injonction car il considère être titulaire d’un bail dans les locaux situés à MARIGNAC rue de l’Usine, cette question faisant d’ailleurs l’objet d’une procédure actuellement pendante devant le Tribunal de Grande Instance de TOULOUSE, ce que vous ne pouvez ignorer puisque la Communauté des Communes est assignée pour que le Comité d’Etablissement soit rétabli dans les droits qu’il estime que vous avez violés en le privant de l’usage contractuel des locaux que vous entendez occuper pour les besoins administratifs de la Communauté des Communes.

     

     

     

    Cette réponse valant acte de procédure sera notifiée à tous les avocats constitués dans la procédure ci-dessus rappelée.

     

     

     

    Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à mes meilleurs sentiments.

     

     

     

     

     

    SCP DARRIBERE

     

    Raphaël DARRIBERE