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  • L'article du 15 septembre

    Les histoires insolites de Jojo

    La guerre des demoiselles (suite)

    Dimanche, les chasseurs de Saint-Béat ont commencé leur saison de chasse. L’équipe Courtade a brillamment fait l’ouverture en attrapant un joli sanglier au Pujo de Géry.

    Le compte rendu de la dernière réunion.
    La réunion du vendredi 12 septembre à la mairie de Saint-Béat a animé toutes les discussions. L’ordre du jour de cette réunion portait sur la remise des bracelets et sur notre action pour retrouver nos droits sur l’indivise Arlos-Saint-Béat. Un juriste a bien voulu nous éclairer sur les responsabilités de chacun. C’est au maire de Saint-Béat propriétaire de la forêt indivise avec la mairie d’Arlos, de défendre par tous les moyens à sa disposition les chasseurs de sa commune.

    L’arrêté du 8 juin 2008.

    Nous nous sommes procuré l’arrêté préfectoral du 8 juin 2008 au sujet de la chasse au sanglier dans les réserves. Cet arrêté n’est pas spécifique à la réserve d’Arlos mais à toutes les réserves.
    Il stipule que le département de la Haute-Garonne est divisé en 20 unités de gestion et que tout doit être fait pour supprimer les sangliers, qui en surnombre créent de nombreux dégâts, dont l’indemnisation grève dangereusement les finances de la fédération des chasseurs.
    A cette fin la chasse au sanglier pourra être pratiquée dans les réserves du 1er juin au 28 février 2008. Le nombre d’intervention est limité à 3 par mois.
    24 heures avant le détenteur du droit de chasse devra en informer le service départemental de l’office national de la chasse et de la faune sauvage et la fédération des chasseurs de la Haute-Garonne.
    De plus l’article 4 de cet arrêté spécifie que les réserves de chasse seront implantées dans les milieux les moins favorables aux sangliers. Encore un mauvais point pour ceux qui veulent déplacer la réserve d’Arlos sur la forêt soumise de l’indivise d’Arlos-Saint-Béat.
    Les chasseurs de Saint-Béat comptent faire des actions spontanées pour obliger la mairie de Saint-Béat à faire une requête devant le tribunal administratif. contre la mairie d’Arlos qui a motivé le conflit et est la détentrice du droit de chasse avec la mairie de Saint-Béat sur le territoire de l’indivise,

    Réserve pour l’ours au Burat
    .Les chasseurs de l’ACCA de Saint-Béat ont conscience que l’on n’est qu’au début d’une grande offensive pour créer une réserve à ours sur le massif du Burat. Ce massif étant autant en territoire espagnol que français il est l’endroit idéal pour créer cette réserve comme le préconise la directive européenne Life. et la FNE (Federation nationale de l’Environnement.)
    L’AICA du canton de Saint-Béat doit rester vigilante devant l’évolution du dossier.

    ESCARIO Georges

  • L'article du 7 septembre2008

    LES HISTOIRES INSOLITES DE JOJO 1

    ARLOS-SAINT-BEAT
    La Guerre des demoiselles (Suite)

    Cette semaine deux événements importants ont alimenté la saga qui oppose la commune de Saint-Béat à celle d’Arlos : la rencontre des maires des deux communes et l’article de monsieur le Sous préfet qui a paru ce samedi sur les colonnes de la Dépêche du Midi.

    Ce vendredi les maires des communes d’Arlos et de Saint-Béat se sont réunis pour trouver un compromis. Cette réunion n’a rien apporté de positif pour les chasseurs, la mairie d’Arlos se retranchant derrière les arguments des différents courriers de la DDAF. La mairie d’Arlos reconnaît que les chasseurs de Saint-Béat ont les mêmes droits que ceux d’Arlos sur le territoire indivis. Comme arrangement elle suggère de mettre la totalité du territoire en réserve après l’accord des deux ACCA. Cette solution sera difficilement acceptée par les chasseurs des deux communes et l’on comprend que le but rechercher par la commune d’Arlos est d’empêcher que l’affaire se termine devant les tribunaux.

    Il est clair que les différents courriers de la DDAF ( Direction Départementale de l’Agriculture et de la Forêt) comporte de nombreuses contradictions.
    Tout d’abord la superficie des territoires indivis est de 1000 hectares et non de 358 hectares. Faut-il rappeler que le cadastre n’est pas une preuve de propriété mais seulement un document fiscal ?
    De plus d’après la loi Verdeille le droit de chasse appartient aux propriétaires et donc aux communes de Saint-Béat et d’Arlos. L’adhésion de ces terrains à un protocole ne peut être consentie qu’avec l’unanimité des indivisaires. De ce fait l’arrêté du 11 février 1972 n’a pas de fondement. Faut-il rappeler qu’en 1973 l’AICA a été créée avec l’ACCA d’Arlos. Ces derniers sont sortis de cette dernière en 1997. Il est important aujourd’hui que la mairie de Saint-Béat détentrice du droit de chasse avec la commune d’Arlos convienne avec cette dernière d’établir une convention pour satisfaire l’ensemble des chasseurs.

    Depuis l’arrêté préfectoral du 11 février 1972, soit 36 ans, les chasseurs de Saint-Béat ont chassé sans problèmes sur le territoire de l’indivise.
    Voilà les éléments sur lesquels la mairie de Saint-Béat devrait s’appuyer pour faire valoir ses droits devant le Tribunal Administratif de Toulouse.

    L’article de monsieur le Sous-préfet ne nous apprend rien de nouveau puisqu’il ne fait que rappeler les différents courriers que nous a transmis la DDAF. Une entrevue entre les membres de l’ACCA de Saint-Béat et monsieur le sous-préfet est souhaitable avant d’engager toute procédure.
    La proposition de la création d’une AICA entre les deux ACCA démontre bien que l’ACCA de Saint-Béat n’a pas perdu son droit de chasse sur l’indivise. Les contradictions de la DDAF apparaissent au grand jour. Les chasseurs de Saint-Béat iront « jusqu’au bout » tout en laissant la responsabilité aux parties qui ont soulevé le conflit.
    Peut-être que demain nous connaîtrons les vraies motivations de ce conflit ! S’il reposait sur la tranquillité des ours introduits, une fois de plus les montagnards seraient pris pour des demeurés.
    La guerre des demoiselles ne fait que continuer.

    ESCARIO Georges.

  • Rectificatif

    Des pressions ont eu lieu contre le Petit Journal à la suite de la parution de divers articles que j'ai fait paraitre sur ce Journal.
    Le directeur Monsieur Paga a cru bon retracer la vérité.

    Je l'en remercie.





    Rectificatif.doc