SAINT-BEAT

LA TETE NORD DU TUNNEL

Depuis plusieurs jours les habitants de LANGLADE subissent les nuisances sonores d’un chantier hors du commun  qui se situe à l’entrée nord du tunnel de la déviation.

De nombreuses poutres (palplanches) d’une longueur de 15 mètres 50 sont enfoncées dans le sol à l’aide dune grue à câble équipée d’un marteau pneumatique. Ce marteau percute le haut de la palplanche à l’aide d’un système de vérin hydraulique. Dans le calcaire du MOUNT l’opération n’est pas des plus aisées et ce n’est qu’après plusieurs heures que la poutre est enfoncée.

La zone renforcée  située dans un secteur à risques très élevés  doit   abriter en plus de la tête du tunnel les bâtiments techniques et la centrale de ventilation. On comprend bien que ce lieu doit être sécurisé contre la chute de rochers.

Ces travaux devraient être terminés avant  la fin de l’année. Il n’y a donc plus que quelques mois à attendre.

Des recherches sur internet ont permis de trouver une image de synthèse qui laisse présager que l’entrée nord du tunnel aura fière allure. 

 Les palplanches

 Nous venons de répondre à une lettre de la DREAL. Voici le contenu:

Association des Riverains et Voisins                                                 EUP le 14 mai 2015

de la RN 125

Mairie de SAINT-BEAT

31440 SAINT-BEAT

A

Monsieur FRUHAUF,

Nous avons bien reçu la lettre de monsieur le préfet  du 23 mars 2015 dont nous vous remercions.

L’Association des Riverains et Voisins  de la RN 125 a suivi au jour le jour l’avancement  des travaux de la      déviation de SAINT-BEAT et les exigences du bureau d’étude BIOTOPE  qui s’occupait du suivi environnemental  des genévriers thuriféres, des chauves-souris, du faucon pèlerin, des écrevisses à pattes blanches… Nous sommes restés sur notre réserve pensant que le « retour de balancier » n’était pas à l’ordre du jour.

Aujourd’hui dans l’attente  des prochaines décisions du maître d’œuvre, l’Etat et la DIRSO, nous constatons que le « maillon manquant » entre le viaduc d’ARLOS et le rond point de LEZ est bien arrêté au niveau du ruisseau d’ESABOS et  nous pensons que la solution temporaire sera adoptée.

S’il en était en définitive ainsi, dés courant 2017,  les habitant du village de  LEZ et tous ceux qui voudront passer par  SAINT-BEAT via le giratoire SUD  devront emprunter la même route que les camions qui transiteront sur la partie ouverte. La sécurité de ces usagers doit être  prise en compte (école et habitants des ARGUT….). Pour minimiser les risques il serait nécessaire   de construire un troisième pont sur le LEZ pour desservir  le village et le MOURTIS. Les avantages sont indéniables puisqu’il n’y aurait plus à rétablir l’ancienne route du MOURTIS et de LEZ  «  par un passage supérieur intégré à la tête sud du tunnel » et revenir sur la solution aberrante du BE BIOTOPE qui préconise la pose de filets et de panneau le long des rambardes pour inciter les grands murins à s’élever. (Pour les exigences de l’ONEMA 2.700 000 euros sans compter les coûts intégrés par les entreprises).

(Le ruisseau d’ARGUILLET qui descend du GAR est plus important que le ruisseau de LEZ sur le plan écologique.  En toute logique il faudrait faire pareil  sur ce ruisseau).

Monsieur FRUHAUF, nous tenions  vous faire par  de ces observations, et aimerions vous rencontrer pour en parler de vive voix.

Veuillez agréer monsieur  nos sincères salutations.

Le secrétaire de l’Association                                                          Le président de l’Association

Daniel EGRE                                                                          Georges ESCARIO

SAUVER LE PETIT JOURNAL

Le samedi 25 avril 2015, monsieur Alain PAGA, directeur du Petit Journal réunissait les anciens correspondants à VALCABRERE pour une remise à plat de l’édition du COMMINGES qui était le fleuron des nombreuses éditions du Petit Journal et qui depuis quelques temps s’éteint.

Monsieur Alain PAGA avait à cœur de reprendre en main la destinée de cette édition et nous demandait de l’aider. J’acceptais sur le champ et promettais de me pencher sur le problème pour  déterminer comment je pourrais être utile.

Au début du journal dans le Comminges nous avions avec Nicole DASPET de FRONSAC œuvré pour que ce journal soit attractif et pour ma part durant deux années j’ai animé une rubrique que j’avais intitulé : «  Les Histoires Insolites de JOJO » qui aura ses lecteurs et sera attendu toutes les semaines. Le succès de ces articles sera tel qu’un livre paraitra, livre qu’on trouve encore en librairie.

Le principe s’étant avéré porteur il fallait trouver une autre idée qui amène le lecteur à acheter le journal toutes les semaines.

Je pensais que d’ouvrir une rubrique critique sur les événements qui se passent autour de SAINT-BEAT avait sa place dans ce journal et je m’engageais d’animer toutes les semaines : « Les Carnets de JOJO ».

Je comptais profiter de ma présidence au sein de l’Association des Riverains et Voisins  de la RN 125 pour porter à la connaissance des lecteurs les péripéties de la déviation qui ont animées l’association et par ce biais faire réagir le lecteur sur l’ajournement du chantier  et l’étude de l’utilisation temporaire du pont neuf de SAINT-BEAT le temps que l’Etat trouve les crédits pour reprendre la construction du « chaînon manquant » entre le giratoire SUD et le viaduc d’ARLOS.

L’affaire du local du Comité  d’Etablissement de FERROPEM va connaitre un tournant décisif avec les plaidoiries le 17 septembre. Je pense que nous pourrons  porter à la connaissance du lecteur, différents points du dossier sans interférer sur la justice et enfin nous pourrions relancer le dossier de la Centrale de CAUBOUS qui est un scandale voulu par le GRENELLE DE L’ENVIRONNEMENT.

Les sujets ne manqueront pas et je vous invite de participer au sauvetage du PETIT JOURNAL en faisant connaitre vos idées sur l’ EMAIL : georges.escario@free.fr ou en téléphonant au 05 61 79 40 67.

Dés cette semaine paraitront sur le Petit Journal deux articles :

-          Le démantèlement de la borne ECOMOUV.

-          Les élections législatives en Grande-Bretagne.