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conflit Pechiney - Page 14

  • En attendant que justice soit faite...

    CONFLIT PECHJNEY

    EN ATTENDANT QUE JUSTICE SOIT  FAITE……

    La mobilisation de l’Association Socioculturelle de PEM Marignac a porté  l’affaire du local du Comité d’Entreprise à  la une des différents journaux. L’augmentation de la fréquentation du blog jojo. blogspirit.com et les différents commentaires démontrent l’intérêt que portent les habitants du canton à cette affaire.

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    C’est donc maintenant à la justice de se prononcer.

    On peut s’attendre à une procédure longue et l’on peut penser qu’un « référé » arrêtera les travaux envisagés par la  Communauté des Communes. Les ouvriers de PEM connaissent les conséquences d’une telle décision et rappellent qu’ils ont tout fait pour résoudre le problème à  l’amiable mais le vote sans appel des délégués communautaire en a voulu autrement.

    En attendant les ex-ouvriers de PECHJNEY mettent de l’ordre dans les archives qu’il leur reste.

    Ils ont retrouvé une photo de 1972 : la remise des médailles du travail.

    A vous tous de mettre un nom sur chaque visage. On peut reconnaitre, entre autres, monsieur André PALLAS, le maire de Marignac , entouré de Mlle MANJIGALAZE, monsieur Barthélemy DASPET, le père de Nicole et Doudou,  l’ingénieur monsieur PANETON,le contremaitre Roger BARBE, le père de GERARD….. etc…

    Une époque que l’on ne peut oublier.

  • La communauté des Communes: "La cour du roi Petaud"

    CONFLIT PECHINEY

     

    La Communauté des Communes : « LA COUR DU ROI PETAUD »

     

    Le 19 septembre 2011 avait lieu à Fos la réunion de la Communauté des Communes du canton de Saint-Béat qui devait voter  la demande, vieille de plusieurs mois, de l’Association socioculturelle de Pem d’occuper les locaux du  Comité d’Entreprise.

    Le vote sans appel des délégués communautaires  mettait un terme à l’espoir qu’avaient les anciens ouvriers de régler le problème à l’amiable comme ils l’avaient exprimé à plusieurs reprises.

    Il faut dire que la présence des gendarmes et la volonté du président de l’intercommunalité d’instituer un huis clos n’étaient pas pour arrêter la détermination des ouvriers.  Les ouvriers remercient les quelques délégués communaux qui ont pris la parole pour dénoncer le manque de démocratie d’une telle procédure, ainsi que ceux qui ont témoigné ouvertement leur solidarité.

    Le président et le bureau durent faire marche arrière et les gendarmes présents n’ont pas eu à  évacuer la salle.

    Le manque de dialogue avec une partie des délégués est inadmissible et les propos du président  à la limite de la diffamation.

    Les délégués étaient avertis des intentions des ouvriers par la diffusion d’une « lettre ouverte » parue sur ces colonnes, il ya une semaine, qu’ils avaient pris soin de distribuer à tous les délégués à l’entrée de la  salle de réunion. Des le début de la séance l’atmosphère était pesant, on se serait cru dans la cour du «Roi Pétaud», où  plus personne ne  commandait.

    En définitive nous avons assisté à un épisode peu glorieux de l’intercommunalité qui ne doit pas nous faire oublier l’essentiel.

     Les  anciens ouvriers de Pechiney Electrométallurgie ont pris l’initiative de porter l’affaire en justice, avec l’appui de leur avocat et de nombreux amis qui ont étudié le dossier.

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    Chacun comprendra qu’un tournant vient d’être franchi et que bien sûr ce n’est pas le moment de divulguer la stratégie des ouvriers.

    ESCARIO Georges

  • ALMAMET

    CONFLIT  PECHINEY

    L’USINE ALMAMET

     

    Le 29 avril 2009 la société Thermo-Magnésium  France est mise en liquidation judiciaire et les juges du Tribunal de Commerce de Toulouse ordonnent la « cession totale » de l’entreprise à la Société ALMAMET pour la somme de 720000 euros. Cette société est spécialisée dans la désulfurisation de l’acier et a son usine principale en Turquie. Le tribunal a pensé qu’Almamet offrait les meilleures garanties pour assumer : « la pérennité de l’entreprise et son volet environnemental. »

    001.jpg Almamet s’engageait à reprendre les 15 ouvriers de Thermo-Magnésium, à injecter 900.000 euros pour la mise en conformité de l’usine et sa sécurité et à investir 150.000 euros pour dépolluer le site des 1000 tonnes de déchets. Aujourd’hui on constate que les promesses se sont envolées et que seule une petite unité de sciage fonctionne avec deux ouvriers. L’usine est peu à peu démantelée (un transformateur vient d’être vendu à un ferrailleur)

    Rien n’empêchera  Almamet de délocaliser les dernières machines en Turquie ou en Pologne.

    Il est a déplorer qu’aucun élu ne fasse respecter les engagements tenus devant le Tribunal de Commerce de Toulouse.