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Les histoires insolites de Jojo - Page 54

  • La guerre des demoiselles

    Voici le dernier article en date du lundi 1er septembre.
    Les chasseurs doivent se réunir mardi pour prendre des décisions importantes dont je vous ferai part par le biais de ce blog.

    ARLOS SAINT-BEAT

    Les histoires insolites de Jojo.

    La guerre des Demoiselles (suite)

    L’ADMINISTRATION SOUFFLE LE CHAUD ET LE FROID.

    Les réactions ont été nombreuses aux différents articles parus sur ces colonnes, suite au contentieux qui oppose la commune d’Arlos et celle de Saint-Béat sur le devenir des parcelles indivises.
    L’Office National des Forêts veut profiter de son droit de réponse, c’est son droit le plus strict. Le but de ces articles n’était-il pas d’inciter toutes les parties à s’exprimer à fin de trouver un compromis acceptable par les habitants des deux communes ?
    Les courriers transmis à l’A C C A de Saint-Béat par les services de la DDAF (Direction départementale de l’agriculture et de la forêt) sont difficilement interprétables, l’un contredisant l’autre à quelques jours d’intervalles. Seul le tribunal administratif de Toulouse mettra un terme à ces propos contradictoires et non motivés.
    Les deux ACCA avaient lors de la saison de chasse 2007-2008 signé un protocole d’accord qui, bien que n’étant pas parfait, avait remis la paix entre les deux communes. Cette année ont met de l’huile sur le feu jusqu’à affirmer gratuitement que la commune de Saint-Béat a perdu son droit de chasser sur l’indivise.
    De plus la DDAF ignore que les parcelles indivises s’étendent sur prés de 1000 hectares et que seulement 145 hectares sont concernés par la réserve que la préfecture veut créer sur l’indivise.
    Il faut rappeler que les communes de Saint-Béat et d’Arlos sont liés avec l’ONF par un contrat d’aménagement qui se terminera en 2011 et que ce contrat fait mention de l’exercice de la chasse sur ce territoire en spécifiant que tout sera mis en ouvre pour limiter « l’expansion des cervidés qui pourraient nuire à l’effort de régénération envisagé ». Aujourd’hui on fait tout le contraire et c’est préoccupant pour tous ceux qui connaissent la forêt et se soucient de son devenir.
    Le feuilleton promis ne connait pas à ce jour l’issue espérée. Dans le prochain article nous espérons vous faire part de décisions plus concrètes.

    Territoire de chasse2003.doc

  • La guerre des demoiselles Article de la semaine du 18 août

    Indivise ARLOS-SAINT-BEAT

    La guerre des demoiselles.

    L’enjeu économique de l’indivise.

    L’indivise Arlos-Saint-Béat est gérée en copropriété. Depuis des siècles les deux communes bénéficient de toutes les richesses que produit le territoire et la chasse ne représente qu’uns partie des droits que possède la commune de Saint-Béat .
    Avant la Révolution dans le canton de Larene, Saint-Béat possédait une fruitière à l’emplacement de la cabane des Scourraous et le chef fruitier de Saint-Béat y faisait des fromages avec le lait de son troupeau.. Cette cabane n’est pas indivise avec la commune d’Arlos. Elle appartient uniquement à Saint-Béat.
    Les nombreux différents qui ont eu lieu entre Saint-Béat et Arlos au sujet de ces parcelles indivises ont toujours tourné à l’avantage de Saint-Béat. Voilà qu’en 2008 la commune d’Arlos remet en cause un compromis trouvé la saison 2007-2008 qui donnait satisfaction. Les bonnes relations entre les deux communes ; la DDAF et l’ONF sont rompues. Il serait regrettable qu’un nouveau procès soit instruit et que les contribuables soient de nouveau mis à contribution.

    Depuis toujours la commune de Saint-béat paie ses impôts sur ces parcelles et paradoxalement pour la commune d’Arlos qui trop pauvre n’est pas capable de s’acquitter de cette charge.
    De puis toujours les pâturages sont loués. Les deux communes doivent délibérer pour octroyer ces territoires. La DDAF doit connaître tout cela et il semble que l’arrêté pris ne tienne pas compte du passé.

    Enfin ce territoire indivis à une grande importance sur le plan touristique. N’est-il pas traversé par le G 10 ? Les cabanes des Scourraous et celle de l’Artigue sont connues et répertoriées par les randonneurs. Ces cabanes ont besoin d’être relookées pour répondre aux exigences des randonneurs
    On voit que le problème n’est pas simplement forestier. La DDAF et l’ONF n’ont pas le droit d’en faire un domaine réservé.

  • La guerre des demoiselles (Suite)

    ARLOS SAINT-BEAT

    LA GUERRE DES DEMOISELLES ( Suite)

    Une affaire qui se terminera devant les tribunaux.

    En l’absence de monsieur le maire de Saint-Béat nous ne connaissons pas la réponse des services de la Préfecture au dernier courrier envoyé.
    Toutefois les services de la DDAF ont fait suivre un Fax à la mairie de Saint-Béat. Sans motivation, ce document retire le droit de chasser sur l’indivise Arlos-Saint-Béat aux chasseurs de Saint-Béat en ignorant que depuis toujours les membres de l’ACCA de Saint-Béat ont pratiqué leur sport sur ces parcelles. La loi Verdeille définit bien les droits des copropriétaires et des propriétaires qui font apport de chasse à l’Acca d’Arlos, monsieur Costamagne semble s’y asseoir dessus.
    Dans cette saga de l’été il apparaît que la solution sera portée devant les tribunaux. L’affrontement entre les chasseurs d’Arlos et de Saint-Béat est entériné et c’est la seule manière de le trancher. Il est regrettable que cette affaire oppose les deux villages et que nous ne connaissions pas les vraies raisons de cet entêtement.
    L’hypothèse de penser que la principale motivation est la tranquillité des ours introduits n’est pas à exclure. Ils auraient un grand territoire pour eux sur le Burat puisque l’indivise touche à la réserve ministérielle du Burat qui se trouve sur la commune de Marignac.
    Pour le moment les ours préfèrent les alentours des routes à grande circulation. Il y a quelques jours un de ces plantigrades n’a-t-il pas causé un accident en Ariége ? Sans doute voulait-il faire du stop pour revenir chez lui en Slovénie. Rien n’est à exclure ne dit-on pas que cet animal est doué de raison.
    A prés les éleveurs voilà les chasseurs pris en otage par le plan ours. Tout est mis en place pour que la « Guerre des demoiselles puisse commencer.
    Photo ; Vue de le vallée avec le piper de l’aérodrome de Clarac.

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